Ce samedi 28 septembre 2024, Le Futuroscope a inauguré le dernier samedi de septembre, aux portes de son parc d’attraction, son tout nouveau parc aquatique l’Aquascope.

Ce projet s’inscrit dans un vaste plan d’investissement de 304 millions d’euros, soutenu par la Banque des Territoires, la SEM patrimoniale de la Vienne et la Compagnie des Alpes. « C‘est aussi le fruit de deux ans de travaux, d’un budget global de 57 millions d’euros et d’une approche environnementale globale », expliquent les responsables du Parc.

Sur plus de 6 000 m2, couverts et thématisés, l’Aquascope est composé de trois univers immersifs et expérientiels uniques au monde, ainsi que d’un espace extérieur ouvert aux beaux jours.

Le parc aquatique a l’ambition d’accueillir 500 000 visiteurs par an.

Une expérience inédite ?

Dans le cadre de ce projet, le Futuroscope a relevé le défi de transposer ses technologies et tout son savoir-faire technique et artistique au milieu aquatique, « pour proposer une expérience inédite« .

Ouvert depuis le 15 juillet dernier, l’Aquascope confirme « l’ambition du Futuroscope à devenir une destination à part entière de courts séjours à envergure européenne. »

« Mission réussie dès cet été, où 2/3 des visiteurs de l’Aquascope prolongent leur séjour par une visite du parc d’attractions », assure le Futuroscope.

Un important volet environnemental

« L’Aquascope est le plus gros investissement jamais réalisé par le Futuroscope depuis sa création en 1987, 10% du budget a été consacré au volet environnemental« , a indiqué fin septembre Rodolphe Bouin, président du directoire du Futuroscope. « Concilier divertissement aquatique et respect de l’environnement a été une évidence pour nous. Zéro artificialisation des sols, mix énergétique, circuit d’eau vertueux… L’Aquascope s’inscrit pleinement dans la trajectoire Net Zéro Carbone  du Futuroscope d’ici 2025″.

A savoir

L’Aquascope a permis de créer une centaine d’emplois, dont 55 personnes ont bénéficié d’une formation financée et rémunérée BNSSA et 15 du BPJEPS, grâce à un partenariat élaboré avec le CREPS de Poitiers et Action Sauvetage qui permis de faire face à la pénurie nationale de maîtres-nageurs